Les deux premiers tiers de l'épisode m'ont effrayé et je me suis cru retourner en saison 4, où il fallait faire du n'importe quoi pour dire de faire du n'importe quoi, d'autant que le tout avait des relents faisandés des épisodes de pain-ball. 

Heureusement, l'épisode finit par sortir la tête de l'eau et parvient à rendre un dernier hommage touchant à Troy.

Un des meilleurs épisodes de la série. Très drôle et très triste... La série a presque réussi à me décrocher une larme !

Troy était un des éléments essentiels de Community et je suis content qu'il soit parti dans épisode formidable et mémorable.

Oh my... Community nous sort un chef d'oeuvre avec son Paintball 2.0, mais un vrai cette fois.

Moins hilarant, et forcément un peu moins original, certes, mais tout aussi délirant et surtout qui est un dernier tour de piste extraordinaire pour Troy. Jamais je n'ai vu une sortie de personnage dans une comédie (ou plus largement dans une série même) aussi maîtrisée et parfaite. J'ai eu les larmes aux yeux sur la fin.

"Abed - By the way, when I cloned you, I had to patch some missing parts of your DNA with genes from a homing pigeon... You may notice side effects, like a compulsion to come back.

Troy - ...Cool. Clone hug ?"

'tain !

Abed était absolument formidable dans cet épisode et tous les personnages étaient au sens large caractérisés parfaitement et de la manière qui me plait le plus pour chacun. Même pour Britta, on la voit en moralisatrice qui s'en prend plein la gueule par les autres mais qui a quand même des échanges bien barrés notamment avec Jeff, et qui est cruciale au scénar' vu qu'elle permet de mettre en évidence le but du jeu. Moi qui n'était franchement pas fan d'elle ni de Gillian Jacobs au début de la série, je suis ravi de voir que les scénaristes peuvent enfin lui trouver une réelle place.

Bien sûr l'épisode reprend tous les codes du genre et c'est en cela qu'on voit les similitudes avec les autres parodies sur le modèle de Modern Warfare. Après une introduction classique, le pitch ne tarde pas, puis s'enchaînent des séquences géniales (les "Lockerboys", Shirley's Island) et les idées géniales (le bulldozer de Hickey, "Troy and Abed in the buuuubble !"). L'aspect survival est susperbement géré grâce à un rythme frénétique et on sent juste que les mecs se sont autant éclatés à le faire que nous à les regarder, ce sentiment est assez génial. Enfin le survivor epic laisse place à un aspect plus émotif de l'histoire avec le clou du spectacle qui reste la scène de la lave entre Abed et Troy résumant toute leur relation.

Le fanservice est présent sous plusieurs aspects, et concerne surtout Troy sur sa scène de fin avec la musique, sa relation avec chaque perso et le retour de Levar Burton.

Le méta était également là même si bien plus subtil que d'habitude, ce qui fait que le principal intérêt de l'épisode réside quand même dans son premier degré, son humour/parodie et son émotion, ce qu'il réussit parfaitement.

Bref il y avait tout. Chapeau l'artiste, et au revoir Troy. Sache que tu étais quand même dans mon top 3 facile (sur les 7 persos du groupe = hors secondaires) et que tu vas beaucoup, beaucoup me manquer.

Parce qu'on ne change pas une femme Barbara Gould, je suis encore d'accord avec Koss.

Soyons clairs, l'épisode était génial et je suis une grande fan de ces délires à la Battle Royal. Mais je n'ai pas été surprise, et à mon sens, le départ de Troy aurait pu donner lieu à quelque chose de beaucoup plus énorme. La fin était émouvante également, mais assez conventionnelle.

Après l'épisode dernier, je m'attendais à autre chose, moins marqué et qui continue de jouer sur l’ambiguïté et la noirceur du personnage d'Abed. Je ne l'ai pas assez eu, et c'est peut-être ce qui me laisse sur ma faim...

Mouais.

J'avoue que je suis assez déçu. Je suis déçu car contrairement à ce qu'affirme Koss, c'était effectivement le 4ème (ou 2ème de suite qui en suivent 2 de suite si tu comptes l'épisode 3) épisode énormissimement génial de la saison. Il n'y a pendant un bon gros quart d'heure que divertissement jouissif et absolument aucune ombre d'ennui à ce propos. C'est un recyclage intelligent d'idées et de thèmes pour aboutir à un nouveau résultat très bon.

Alors oui, je comprends bien ce qu'Harmon a voulu faire : montrer que tout le monde s'est Abedisé et qu'ils jouent tous le jeu pour lui faire le plus plaisir et le moins de peine. Mais j'accroche carrément. Même si je suis juste en train de faire un habile copié-collé de l'avis de Koss qui n'innove pas.

Quant à la fin, évidemment qu'elle est réussie et émouvante. Bien sûr. Mais là aussi, on savait tous comment cela allait se terminer de la façon dont cela s'est terminé. Très peu de surprises donc (sauf pour LeVar Burton), mais c'était tellement bon, tellement parfait comme sortie de personnage que les rares défauts de l'épisode deviennent nuls et non avenus.

Peut-être faudra-t-il que Koss revoie la saison dans son intégralité pour percevoir la finesse de cet épisode central. En attendant, je suis juste un peu triste que cet épisode soit un des rares sur lesquels on n'est pas d'accord et ai vraiment hâte de voir ce que va donner Community sans Glover.

Ahah je crois qu'on sera jamais d'accord avec Koss sur cette saison 5.

J'ai vraiment kiffé cet épisode, même si y'a rien d'innovant dans la globalité, y'a plein de nouveaux détails croustillants et géniaux. Rien que Chang, ses locker boys et ses "same-sex celebrities" c'est à mourir de rire. Hickey et sa machine aussi, Duncan et la référence aux Anglais...

Même sur le plan du fond c'est bien foutu. Ce que je reproche d'habitude dans les codes de Commu ne m'a pas gêné sur cet épisode. Les adieux sont bien sentis, bien écrits, parfaits.

C'était peut-être un peu trop premier degré, mais moi j'ai adoré.

Mouais.

J'avoue que je suis assez déçu. Je suis déçu car contrairement à ce qu'affirme Gizmo, c'était effectivement le 3ème (ou 4ème si tu comptes la saison 4) épisode du paintball. Il n'y a pendant un bon gros quart d'heure d'innovation absolument aucune innovation à ce propos. C'est un recyclage d'idées et de thèmes. Alors oui, je comprends bien ce qu'Harmon a voulu faire : montrer que tout le monde s'est Abedisé et qu'ils jouent tous le jeu pour lui faire le plus plaisir et le moins de peine. Mais je n’accroche pas. Je suis juste face à un habile copié-collé qui n'innove pas.

Quant à la fin, évidemment qu'elle est réussie et émouvante. Bien sûr. Mais là aussi, on savait tous comment cela allait se terminer de la façon dont cela s'est terminé. Très peu de surprises donc (sauf pour LeVar Burton).

Peut-être faudra-t-il que je revois la saison dans son intégralité pour percevoir la finesse de cet épisode central. En attendant, je suis juste un peu triste et ai vraiment hâte de voir ce que va donner Community sans Glover.